.
Comment déterminer si vous êtes un stoner
Vous adorez la weed de haute qualité, vous cultivez de belles fleurs givrées et vous savez quelles variétés vous adorez. Vous avez là tous les traits d’un vrai stoner, mais méritez-vous vraiment ce titre ? Découvrez si vous en êtes un vrai avec ces 18 points. Cochez-les au fur et à mesure pour découvrir l’étendue de votre relation avec l’herbe.
Sommaire:
- Vous abusez du wake n’ bake
- Vous tolérez les joints baveux
- Vous ne prenez pas les choses trop au sérieux
- Vous vous perdez dans les tréfonds du doomscrolling
- Vous n’aimez pas être à court de cannabis
- Vous avez développé un don pour rouler dans toutes sortes de conditions
- Vous avez les meilleures listes de lecture du secteur
- Vous avez maîtrisé l’art de la furtivité
- Vos yeux sont souvent rouges
- Vous perdez tout le temps vos briquets
- Parfois, vous finissez beaucoup trop fracassé
- Vous connaissez on ne peut trop bien la pâteuse
- Vous avez eu une mauvaise expérience avec les comestibles
- Vous avez du dédain pour les dealers non ponctuels
- Vous respectez la bonne étiquette du fumeur
- Votre boîte de roulage fait des envieux
- Vous êtes souvent bloqué au « green ceiling »
- Il vous arrive d’être occasionnellement parano
- Alors, où vous situez-vous ?
L’amour de la weed n’est pas la seule chose qui unit les stoners. De nombreux consommateurs vont faire face aux mêmes dilemmes, situations hilarantes ou même partager des attitudes. Même si vous coulez beaucoup de douilles et fumez un certain nombre de joints, cela fait-il automatiquement de vous un vrai stoner ? Si vous faites régulièrement face aux situations suivantes ou que vous vous retrouvez en ces dires, il est fort probable que ce soit le cas.
1. Vous abusez du Wake n’ Bake
Le café'tarpé ou Wake n’ Bake est une belle façon de bien démarrer la journée. Rien ne vaut l’odeur des terpènes et du café virevoltant dans l’air. Lorsque le Wake n’ Bake se passe bien, vous commencez la journée motivé et vous vous sentez à l’aise dans vos baskets après une matinée productive. Cependant, consommer de la weed tôt dans la journée ne se passe pas toujours comme prévu. Si vous en abusez, ne serait-ce qu’une inhalation de trop, vous risquez d’être trop perché. Si les fumeurs les plus expérimentés d’entre nous peuvent facilement supporter cette situation, ceux dont la tolérance est plus faible devront peut-être abandonner leurs projets pour la première moitié de la journée. Vous savez que vous êtes un stoner si vous avez déjà abusé de votre Wake n’ Bake.
2. Vous tolérez les joints baveux
Parfois, il est fort agréable de fumer seul, mais fumer de l’herbe se fait souvent en groupe. Que vous soyez à la maison avec des amis, en randonnée ou réunis autour d’un feu de camp, l’ajout du cannabis au cadre rend le tout encore plus agréable. Cependant, faire tourner des joints implique de devoir tolérer un carton occasionnellement baveux et humide. Bien qu’ils soient répugnants pour la plupart des gens, les vrais stoners ont tellement fait face à cette nuisance pendant des années que cela ne les empêche pas de continuer à tirer, tirer et faire tourner.
3. Vous ne prenez pas les choses trop au sérieux
Voilà un vrai trait de caractère de stoner. Un apport régulier de cannabinoïdes dans le corps empêche de stresser pour les petites choses désagréables du quotidien. De nombreux stoners attestent que fumer les aide à voir au-delà des nuisances. La vie devient plus simple. La nature devient plus belle. S’inquiéter des petites choses semble si insignifiant quand on réalise à quel point la vie est magnifique, surtout avec un spliff à la main. Si vous êtes un vrai stoner, vous êtes probablement plus détendu ou plus facile à vivre que la plupart des gens.
4. Vous vous perdez dans les tréfonds du doomscrolling
Nous sommes tous coupables de nous perdre dans les tréfonds du doomscrolling sur les réseaux sociaux. À un moment donné on est assis sur le canapé, dans le bus ou sur le siège des toilettes, et d’un coup, on réalise qu’on scrolle sans but depuis 30 minutes sur des vidéos de chats et d’autres tendances du moment. Cependant, on est beaucoup plus susceptibles d’être victimes de doomscrolling lorsque l’on est high, car le cannabis a tendance à tout rendre plus intéressant et il aiguise les sens.
5. Vous n’aimez pas être à court de cannabis
Vous savez que vous êtes un stoner si manquer d’herbe est vraiment une situation attristante. Vous commencez à garder des têtes pour des occasions spéciales lorsque votre stock diminue, mais lorsqu’il est enfin à sec, la musique ne sonne pas aussi bien et la nourriture n’a pas un goût aussi divin. Vous attendrez avec impatience que votre dealer se pointe ou que votre réserve maison finisse de mûrir.
6. Vous avez développé un don pour rouler dans toutes sortes de conditions
Les vrais stoners sont des gens résilients et savent « encaisser les chocs ». Quelles que soient les conditions, ils roulent un cône parfait et parviennent à l’allumer et à le garder au sec même en cas de mousson ou de vent violent. Les amateurs de cannabis qui préfèrent fumer en plein air développent un don impressionnant pour rouler dans des conditions que les utilisateurs inexpérimentés ne pourraient même pas imaginer reproduire.
7. Vous avez les meilleures listes de lecture du secteur
Le cannabis amène souvent les gens à développer un goût très raffiné, mais expansif, pour la musique. L’herbe nous attire vers des sons qui nous font du bien allant de la psytrance martelante aux rythmes syncopés des chansons reggae en passant par les riffs de guitare orgasmiques et les batteries fédératrices du heavy métal. Si vous êtes un vrai stoner, c’est souvent votre téléphone qui est connecté aux enceintes et vos morceaux qui donnent le ton des sessions fumette.
8. Vous avez maîtrisé l’art de la furtivité
Fumer et cultiver du cannabis dans des pays qui l’interdisent encore pousse les gens à développer des tendances furtives. D’une manière ou d’une autre, les fumeurs trouvent les endroits les plus isolés et les plus chills pour profiter de l’herbe et les cultivateurs ingénieux modifient des armoires et des tours d’ordinateur pour faire pousser leurs spécimens à l’abri des regards. Certains consommateurs osent même fumer dans leur chambre avec l’aide de sploofs et de quantités copieuses de désodorisant.
9. Vos yeux sont souvent rouges
Vos amis se sont probablement habitués à vos yeux rouges à ce stade. En fait, cela fait probablement partie de votre look naturel maintenant. Même vos collègues de travail en sont au point où ils pensent que vous avez un rhume des foins toute l’année ou des allergies à la poussière inhabituellement problématiques.
10. Vous perdez tout le temps vos briquets
Avez-vous vraiment perdu votre briquet ? Ou bien avez-vous été l’une des victimes du crime le plus répandu dans la cannasphère : le vol de briquet ? Ces derniers sont les objets les plus couramment volés dans le monde (très probablement), et la plupart du temps, ce n’est pas intentionnel ! Soyons honnêtes, vous en avez probablement empoché quelques-uns lors de vos sessions. Cependant, si vous perdez le vôtre, vous vous retrouvez dans la situation délicate d’insérer des joints dans des grille-pain et d’utiliser des plaques de cuisson pour espérer allumer leur extrémité.
11. Parfois, vous finissez beaucoup trop fracassé
Vous avez une tolérance impressionnante, mais il vous arrive de passer au-dessus de ce seuil. Vous avez peut-être englouti trop de comestibles ou vous avez peut-être consommé des moonrocks avec des niveaux astronomiques de THC. Parfois, vous êtes tout simplement trop fracassé. Vous avez sûrement été victime à quelques reprises d’une inhalation de trop avant le travail ou des retrouvailles en groupe, vous obligeant à vous promettre à nouveau que vous serez plus prudent à l’avenir.
12. Vous connaissez on ne peut trop bien la pâteuse
Après des années à fumer cette herbe, la pâteuse est devenue une sensation familière. Contrairement à l’époque où vous entriez dans une session fumette sans en connaître les conséquences, vous êtes plus que préparé de nos jours. Chaque fois que vous vous rendez dans les bois ou à la plage pour fumer, vous emportez quelques bouteilles d’eau ou de jus de fruits pour étancher l’inévitable pâteuse.
13. Vous avez eu une mauvaise expérience avec les comestibles
Les comestibles sont une vraie onde de choc pour le système, surtout les premières fois que vous les essayez. Après avoir englouti un brownie infusé au cannabis, le foie convertit une grande partie du THC en une molécule psychoactive plus puissante, le 11-hydroxy-THC, et ce produit chimique donne lieu à un high à la limite du psychédélisme qui peut même surprendre les fumeurs chevronnés.
14. Vous avez du dédain pour les dealers non ponctuels
Vous avez passé un certain temps à attendre votre vendeur de délices végétales sur des bancs de parc ou au coin de la rue. Parfois, ces revendeurs n’ont que 10 minutes de retard à l’endroit convenu ; d’autres fois, ils vous laissent en plan pendant des heures. Mais pourquoi devraient-ils s’en soucier ? Ce n’est pas comme s’ils risquent vraiment de se faire virer. Dans tous les cas, vous savez que vous êtes un stoner si vous avez passé des heures à attendre dans un endroit obscur que votre dealer fasse son apparition.
15. Vous respectez la bonne étiquette du fumeur
L’époque des petits joints miteux et de l’herbe de mauvaise qualité est révolue. Vous avez développé un respect pour l’herbe. Vous roulez bien, cultivez des têtes de haute qualité et attendez des autres membres de votre escouade qu’ils agissent avec l’étiquette appropriée pendant une session fumette. Il n’y a rien de pire que de passer un blunt à votre comparse et de le voir entamer un monologue sur le fait que les oiseaux ne sont pas réels afin de se l’accaparer le plus longtemps possible.
16. Votre boîte de roulage fait des envieux
Vous savez comment vous aimez fumer : à la chic, garçon. Vous avez désormais vos feuilles, grinders, filtres et briquets préférés. Mais vous ne vous promenez pas avec ces appareils fourrés dans vos poches. Au contraire, vous les rangez soigneusement dans une boîte de roulage en bois où chaque article a sa place dédiée. Chaque fois que vous allumez un spliff avec de nouvelles personnes, celles-ci sont époustouflées par votre organisation.
17. Vous êtes souvent bloqué au « Green Ceiling »
Votre tolérance a augmenté au fil des ans. Avant, il suffisait de quelques inhalations pour se sentir fracassé, mais maintenant, il faut de multiples joints. Vous savez que vous êtes un stoner si vous ne parvenez pas à franchir le « Green Ceiling » de temps en temps. Peu importe le nombre de blunts que vous roulez ou de douilles que vous coulez, vous n’arrivez pas à atteindre l’euphorie qui vous attend de l’autre côté.
18. Il vous arrive d’être occasionnellement parano
Peu importe le nombre d’années que vous avez à votre actif, parfois, le cannabis se retourne contre nous. Que vous ayez trop fumé ou que vous passiez une mauvaise journée, il arrive que toutes les voitures ressemblent à des voitures de flics et, pour une raison ou une autre, toutes les personnes que vous croisez savent que vous êtes high (ou du moins c’est ce dont vous avez l’impression). Vous êtes certainement un stoner si vous avez des histoires comiques sur le fait d’avoir jeté votre stock dans un buisson parce que ces mauvaises vibrations envahissantes ont eu raison de votre bon sens.
Alors, où vous situez-vous ?
Combien de ces situations vous sont familières ? Si vous avez vécu ou vous vous identifiez à plus de la moitié de ces scénarios, vous êtes certainement un stoner à nos yeux. Ce n’est pas seulement le cannabis qui rapproche les gens. Les stoners deviennent souvent des amis proches parce que nous partageons beaucoup d’expériences, de comportements et d’habitudes autour de la weed. En tant que vrai stoner, vous observez probablement beaucoup de ces caractéristiques chez vos amis aussi.